viens-mater
Depuis que je suis revenue de vacances , je suis très chaude! Est-ce le fait de ne pas avoir vu mon mec pendant 4 jours??
En tout cas cette nuit j'ai rêvé que je m'empalais sur son sexe en érection, doucement, en plein milieu de la nuit.Et ce matin, je me suis jetée sur son sexe dressé par une érection matinale tout à fait irrésistible.
je l'ai sucé comme je ne l'avais jamais sucé, m'enfonçant pronfondément sur sa bite, ou lui donnant des coups de langues implacables sur le renflement de peau , le petit bouton de plaisir qui se trouve sur son gland.
Mer 1 nov 2006
20 commentaires
humm ça doit être très agréable une petite pipe au lévé par une pin-up comme toi....
LACASA - le 01/11/2006 à 20h34
oh! la vilaine petite fille!
as-tu trouvé le plaisir que tu cherchais ?
lorsque je regarde cette queue entre tes deux seins, je sens que tout est à sa place...que la nature est puissante et harmonieuse...esthétique et crue...!
s'il s'agissait de moi, je te dirais de ne pas hésiter à me reveiller si pareille envie te reprenait - même pendant la nuit...
et au petit matin il ne te resterait pas grand chose à sucer, ma chère !
tu me fais bander
tu me fais bander dur
très dur...
khalilela@yahoo.fr
jiroms - le 07/11/2006 à 15h53
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
c'est à cet instant là que je recevrais un mail de toi...un mail comme quoi tu m'attends à la sortie nord de l'autoroute, à la station-essence...il y aurait également le numéro d'une cabine téléphonique, numéro que je m'empresserais d'appeler...
l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
à peine aurais-je fermé la porte qu'elle se rouvrirait...je me retournerai, et nous nous ferions face, avec un vague sourire, détaillant l'autre avec toute notre attention durant ces quelques secondes qui précederaient l'acte...
puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
khalilela@yahoo.fr
jiroms - le 08/11/2006 à 14h31
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
c'est à cet instant là que je recevrais un mail de toi...un mail comme quoi tu m'attends à la sortie nord de l'autoroute, à la station-essence...il y aurait également le numéro d'une cabine téléphonique, numéro que je m'empresserais d'appeler...
l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
à peine aurais-je fermé la porte qu'elle se rouvrirait...je me retournerai, et nous nous ferions face, avec un vague sourire, détaillant l'autre avec toute notre attention durant ces quelques secondes qui précederaient l'acte...
puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
khalilela@yahoo.fr
jiroms - le 08/11/2006 à 14h31
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
c'est à cet instant là que je recevrais un mail de toi...un mail comme quoi tu m'attends à la sortie nord de l'autoroute, à la station-essence...il y aurait également le numéro d'une cabine téléphonique, numéro que je m'empresserais d'appeler...
l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
à peine aurais-je fermé la porte qu'elle se rouvrirait...je me retournerai, et nous nous ferions face, avec un vague sourire, détaillant l'autre avec toute notre attention durant ces quelques secondes qui précederaient l'acte...
puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
jiroms - le 08/11/2006 à 14h31
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
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l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
à peine aurais-je fermé la porte qu'elle se rouvrirait...je me retournerai, et nous nous ferions face, avec un vague sourire, détaillant l'autre avec toute notre attention durant ces quelques secondes qui précederaient l'acte...
puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
jiroms - le 08/11/2006 à 14h31
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
c'est à cet instant là que je recevrais un mail de toi...un mail comme quoi tu m'attends à la sortie nord de l'autoroute, à la station-essence...il y aurait également le numéro d'une cabine téléphonique, numéro que je m'empresserais d'appeler...
l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
à peine aurais-je fermé la porte qu'elle se rouvrirait...je me retournerai, et nous nous ferions face, avec un vague sourire, détaillant l'autre avec toute notre attention durant ces quelques secondes qui précederaient l'acte...
puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
jiroms - le 08/11/2006 à 14h32
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
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l'esprit léger je grimperai dans la voiture, et pour te récompenser du trajet, je m'arrêterai acheter un beau gode rose à mon sex-shop de prédilection...mais pas de lubrifiant...car, pour la suite, je vais te demander de beaucoup mouiller, ma chère...!
arrivé à la station essence je te reconnaitrai au premier coup d'oeil, et, tandis que tu ferais semblant d'hésiter entre divers paquets de chips (les chips donnent soif mais disons que ce jour là j'aurais largement de quoi t'abreuver !), je me débrouillerai pour attirer ton attention - juste avant de pénétrer dans les toilettes femmes...
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puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
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jiroms - le 08/11/2006 à 14h32
ce sera un jour de pluie, je serai assis à mon bureau, j'aurai vu défiler tout un tas de badauds, de clients et de clientes, dont certaines auront eu de fort jolies jambes, d'autres des grosses bouches humides, y'en aura même quelques unes qui m'auront fait un peu de charme, mais dans tous les cas rien se sera passé, j'aurais juste eu les couilles qui triplaient de volume, toutes frustrées, elles n'auraient pas arrêté de turbiner toute la journée, à chaque regard, à chaque sourire un peu entreprenant...si bien qu'aux alentours de trois heures (tiens tiens quelle coincidence...) je serai au bord de l'explosion - hésitant à aller me palucher dans les chiottes...
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puis je me jeterai sur toi, et je te plaquerai contre le lavabo, je sortirai tes petits seins, et je les pincerai tout en te bouffant le cou...tu saisirais mon sexe et il serait déjà raide, tendu vers toi comme un appel muet...tu lui dirais "mon pauvre petit, personne ne s'est occupé de toi aujourd'hui...!" et tu l'enfournerais dans ta bouche jusqu'à la glotte...
je me retirerai pour me placer dans ton dos, et je te demanderai de te cambrer puis je te goderai le cul avec application, faisant tout mon possible pour t'arracher un cri...
"jouis" je crierai "jouis"...ton clitoris gros comme une pièce de 1€ me glsserait entre les doigts...mes mains joueraient avec tes orifices...quand ton cul serait bien ouvert, je le lècherai avec un professionalisme qui ne serait pas pour te déplaire...
à cet instant là la porte s'entrouvrirait et un agent de service pointerait le bout de son nez...avec un regard complice tu l'inviterais à se joindre à nous (ou pas = ce choix t'appartient) et tu lui demanderais depuis combien de temps il s'est pas fait sucer jusqu'à la moelle...tu ne lui offrirais pas ton cul, ni ta chatte, mais tu le pomperais comme Mr ne savait même pas que ça existait, et tu le regarderais droit dans les yeux tandis que tu avales sa semence épaisse...
je n'aurai pas encore joui, et tu aurais mauvaise conscience, tu me demanderais de te baiser, mais je te répondrais "non, allons faire un tour, cet endroit ne m'inspire plus..."
on sortirait se ballader dans les bois, et au passage, tu prendrais ton appareil...en milieu naturel, une petite séance s'improviserait, on serait nus, et je te prendrai en photo...à chaque pose tu jouerais avec mes nerfs, tu aurais ton gode qui se ballade entre ta chatte et ton cul, tu te mettrais à quatre pattes, et tu écarterais tes fesses en me demandant de venir te la mettre, moi j'aurais la bite qui gonflerait, mais j'aurais encore envie de prendre des photos...malgré tout je céderai...je viendrais au-dessus de toi, et en levrette, comme une chienne, je te donnerai tout, je te pilonnerai, je te ravagerai, je te secouerai, je me démenerai, je t'explorerai, j'irai au bout des choses, tout au fond de ton cul...
puis sur le point d'exploser je me demanderai où ça te ferait plaisir de recevoir ma semence, j'aurais envie de t'en mettre dans les cheveux, de t'en badigeonner les seins, le ventre, mais je choisirai de tout lâcher au fond de tes entrailles de ton anus qui aurait un petit couinement de bonheur...
jiroms - le 08/11/2006 à 14h32
Et bien moi aussi je suis de retour ,et tout auréolé d 'une compagne trés sexy qui partage ma vie ,
cela ne m empèche pas de venir savourer tes photos si sexy qui me font gonfler de désire ,au moins une qui en profite .
continue belle lysa ,a nous combler de bonheur,
kisss romy .